NOIR ET BLANC : (134)
Il fait nuit.
Seul dans mon lit.
Toute lumière éteinte.
Les rideaux fermés.
Les volets descendus.
La maison isoler
À la lisière de la forêt et des prés.
Aucune lueur n’a l’opportunité de pénétrer.
Dans … Lisez la suite
Déc 31
NOIR ET BLANC : (134)
Il fait nuit.
Seul dans mon lit.
Toute lumière éteinte.
Les rideaux fermés.
Les volets descendus.
La maison isoler
À la lisière de la forêt et des prés.
Aucune lueur n’a l’opportunité de pénétrer.
Dans … Lisez la suite
Août 13
SUR TES RIVAGES : (127)
Sur tes rivages, nous nous laissons happer par tes vagues.
Pendant que tes vagues nous couvrent par les pieds.
Tes vagues nous incitent à sauter par-dessus de tes vagues.
Continuent leurs chemins, tes vagues se … Lisez la suite
Juin 11
SEUL : (124)
Seul.
Seul dans la grande ville.
Étouffé par l’immense foule
Elle m’oppresse et m’ignore.
J’étouffe et m’affole dans le métro.
Seul.
Le bruit me désoriente.
La chaleur m’accable.
La solitude ne me réchauffe point.
La peur me … Lisez la suite
Avr 29
LA VERDIERE : (122)
Il pleut cette nuit sur la verdière.
L’obscurité assombrie par l’absence d’étoile.
Même le hibou veille d’un silence absolu.
En toute discrétion ; une ’âme telle une colombe se fait toute légère.
Au lever du jour … Lisez la suite
Jan 03
VUE DU LION DE FLANDRE : (115)
Marie,
De loin, je te visualise sans te voir.
Du haut de ta tour, tu protèges.
Ta ville par l’autorité de ton serviteur.
Qu’il fasse jour, qu’il fasse nuit.
Ton cœur d’or.
Resplendis … Lisez la suite
Avr 03
JOURNÉE DE SOLEIL : (92)
L’aurore, quand tu te réveilles.
Là, au loin, dans l’inaccessible horizon, tu sors de ta nuée.
Le bleu céleste encore noir commence à rougir.
Le coq, qui en premier t’aperçoit, se met en garde-à-vous et … Lisez la suite
Jan 02
L’ANCIENNE ET LA NOUVELLE : (56)
Deux années se côtoient sous un ciel étoilé.
L’ancienne envoie des étincelles à la nouvelle.
Tu vois ! dit-elle à l’an qui vient.
Tout ne fut pas rose ; tout ne fut pas noir.… Lisez la suite
Oct 30
FLEURS IMPÉRIALES : (48)
L’automne déjà bien entamé.
Le combat entre l’été et l’hiver est ouvert.
En ces premières heures de novembre, une nuée couvre le cimetière.
Un épais brouillard camoufle le denier feuillage vert.
À petits pas, j’avance, secouant … Lisez la suite
Août 09
NUIT PATERNELLE :(36)
Pendant que papa dormait d’un sommeil réparateur, moi je me réveillai.
Maman, qui dormait d’un sommeil bien plus profond.
Papa n’avait d’autre choix que de se lever.
Il crut bien faire de me rafraichir.
Mais ce ne … Lisez la suite