thierry maffei

Né un beau matin d’automne de l’an 1954. Dans une petite ville de Flandre-Orientale au Royaume de Belgique. Facile de retrouver sur une carte, il suffit de suivre l’embouchure de la Dendre qui se jette dans l’Escaut. Termonde (DENDERMONDE) en latin Teneramonda est une ville qui se situe entre Gand, Anvers et Bruxelles. La ville même 10.000 âmes, 40.000 avec son arrondissement. Mon premier écrit date de l’an 2001 et s’intitule « À l’embouchure de ma rivière » après avoir diffusé mes poèmes sur divers site poétique, j’ai pris la résolution d’ouvrir mon propre blog dans l’espoir d’être plus visible, mais aussi mieux protéger. J’en profite aussi pour affiner mes écrits. Écrire, c’est une manière de dévoiler une partie de soi-même qui peut prendre forme de thérapie.

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UN POÈTE S’EST PERDU : (111)

UN POÈTE S’EST PERDU : (111)

Un poète s’est perdu.
N’auriez-vous aperçu le poète parmi vos poèmes ?
J’ai cherché parmi vos écrits.
S’il vous plait ; cherchez avec moi dans vos œuvres poétiques.

Un poète s’est perdu.
Ce n’est … Lisez la suite

UN BAISER S’EST PERDU : (110)

UN BAISER S’EST PERDU : (110)

Un baiser s’est perdu sur ses lèvres.
Et les lèvres se sont enlacées.
Les langues se sont enfuies et se sont emmêlées.

Un baiser s’est perdu sur ses lèvres.
Les idiomes se sont retirés.… Lisez la suite

AMER : (109)

AMER : (109)

Amer.
Je t’aime amer.
Quand tu fonds dans ma bouche amère.
D’un goût amer.

Amer.
Les yeux fermés.
Je reconnais ta flaveur amère.
Tu ouvres tous mes sens.

Amer.
J’adore ta pureté.
Sans aucun ajout.
Sans artifice.… Lisez la suite

LA GRENOUILLE SOLITAIRE : (108)

LA GRENOUILLE SOLITAIRE : (108)

Loin de toutes civilisations dans un parc éloigner.
En absence de bruit artificiel.
Parmi les prés sans fin vivent des arbres plus que centenaires.

Comme seule frontière des roseaux protecteurs.
Formant un rideau entre  la … Lisez la suite

AIME SANS RETOUR : (107)

AIME SANS RETOUR : (107)

Elle a tant aimé.
Sans jamais recevoir de l’amour en retour.

Elle avait porté la vie.
Mais. La peur de lui le lui a arraché.

Elle s’est accrochée aux enfants des autres.
Les on-dit les … Lisez la suite

PIERROT : (106)

PIERROT : (106)

Sur le croissant de la lune.
Tenant entre ses doigts une plume d’oie.
Pas d’outil pour tailler sa rémige.
Encore moins d’encre pour tracer un mot.

Pris de pitié, le forgeron lui forge un scapulaire d’acier.
Pauvre … Lisez la suite

GROSSES : (105)

GROSSES : (105)

Gros rhododendron qui fleurit mon jardin printanier.
Serais-tu trop grosse pour embellir mon salon extérieur ?
Quand je vois les jolies tulipes élégantes qui abordent nos parcs !

Toi glycérine qui parfume mes narines à l’aube de … Lisez la suite

POURQUOI ? (104)

POURQUOI ? (104)

Pourquoi tant de violence ?
S’en prendre avec un tel acharnement.
Sans distinction, tu ravages tout sur ton passage.
Regarde-les pleurer leurs morts !

Pourquoi tant de cruauté ?
Serais-tu le plus cruel de tous les maléfiques … Lisez la suite

DRÔLE D’ORANGE : (103)

DRÔLE D’ORANGE : (103)

Au milieu d’un petit Royaume, il y avait un curieux arbre fruitier.
Toute l’année, il fleurissait et portait toute sorte de fruits bien juteux.
Il suffisait de les cueillir et de s’en régaler.
Un matin, une … Lisez la suite

LE PAYS NOIR : (102)

LE PAYS NOIR : (102)

Le pays noir est si noir.
Qu’on aime se réfugier près de toi, gueule noire.
Dans le blanc de tes yeux se lit encore la fierté de ton riche passé.

Pays noir, où le temps … Lisez la suite