thierry maffei

Né un beau matin d’automne de l’an 1954. Dans une petite ville de Flandre-Orientale au Royaume de Belgique. Facile de retrouver sur une carte, il suffit de suivre l’embouchure de la Dendre qui se jette dans l’Escaut. Termonde (DENDERMONDE) en latin Teneramonda est une ville qui se situe entre Gand, Anvers et Bruxelles. La ville même 10.000 âmes, 40.000 avec son arrondissement. Mon premier écrit date de l’an 2001 et s’intitule « À l’embouchure de ma rivière » après avoir diffusé mes poèmes sur divers site poétique, j’ai pris la résolution d’ouvrir mon propre blog dans l’espoir d’être plus visible, mais aussi mieux protéger. J’en profite aussi pour affiner mes écrits. Écrire, c’est une manière de dévoiler une partie de soi-même qui peut prendre forme de thérapie.

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AIMER : (131)

AIMER : (131)

Aimer.
Un mot qui respire la vie.
La vie, l’amour, deux mots qui riment bien ensemble.
La vie sans amour n’est pas une vie.

Aimer.
Tout le sens d’une vie.
L’amour est gratuit.
Se donne et se … Lisez la suite

LA ROSERAIE: (130)

LA ROSERAIE: (130)

D’un été généreux.
La roseraie semble être au bout de son élan.
Les dernières roses résistent dans l’immense roseraie.
La Reine des fleurs contraste aux couleurs automnales

L’automne déjà bien entamé.
Les arbres dénudés de leurs feuilles.… Lisez la suite

LE POÈTE TIRE SA RÉFÉRENCE : (129)

LE POÈTE TIRE SA RÉFÉRENCE : (129)

Le poète tire sa référence.
Laisse ses chansons sur le plancher.
Libre à chacun de chanter ses poèmes.

Le poète tire sa référence.
Il s’est retiré sur le mont des haricots.
Non, sa … Lisez la suite

TOI L’AVEUGLE NE: (128)

TOI L’AVEUGLE-NE ( 128)

Toi, l’aveugle-né.
Toi, qui connais l’esthétique d’une femme par la douceur de ta maman.
Toi, qui ne sais te souvenir de l’exquise de son sein.
Toi, qui reconnais la femme par la fraicheur de sa voix … Lisez la suite

SUR TES RIVAGES : (127)

SUR TES RIVAGES : (127)

Sur tes rivages, nous nous laissons happer par tes vagues.

Pendant que tes vagues nous couvrent par les pieds.

Tes vagues nous incitent à sauter par-dessus de tes vagues.

Continuent leurs chemins, tes vagues se … Lisez la suite

J’AI RAMASSÉ LES MOTS : (126)

J’AI RAMASSÉ LES MOTS : (126)

J’ai ramassé les mots qui trainaient.
Étaler à terre.
Sur vos balades.
Aucun n’a été égaré.
Tous ; je les ai amassés.

Après ma randonnée sur vos excursions.
J’ai conservé tous les mots que … Lisez la suite

SA PLUME EST SÈCHE : (125)

SA PLUME EST SÈCHE : (125)

Sa plume est sèche, complètement sèche.
Plus moyen d’en sortir une voyelle.
L’écrivain ne sait plus quoi faire.
Il a beau se gratter la tête. De sa plume, rien n’en sort.

Sa plume est … Lisez la suite

SEUL : (124)

SEUL : (124)

Seul.
Seul dans la grande ville.
Étouffé par l’immense foule

Elle m’oppresse et m’ignore.
J’étouffe et m’affole dans le métro.

Seul.
Le bruit me désoriente.
La chaleur m’accable.
La solitude ne me réchauffe point.
La peur me … Lisez la suite

ÊTRE SANS ÊTRE : (123)

ÊTRE SANS ÊTRE : (123)

Être sans être.
Est-ce bien-être ?
Être soi-même, mais comment donc ?
Être sans pouvoir être soi.

Être sans être.
Être sans pouvoir choisir d’être.
Être certain d’être.
Être tout en étant incertain d’être.

Être … Lisez la suite

LA VERDIERE : (122)

LA VERDIERE : (122)

Il pleut cette nuit sur la verdière.
L’obscurité assombrie par l’absence d’étoile.
Même le hibou veille d’un silence absolu.
En toute discrétion ; une ’âme telle une colombe se fait toute légère.

Au lever du jour … Lisez la suite