NOIR ET BLANC : (134)
Il fait nuit.
Seul dans mon lit.
Toute lumière éteinte.
Les rideaux fermés.
Les volets descendus.
La maison isoler
À la lisière de la forêt et des prés.
Aucune lueur n’a l’opportunité de pénétrer.
Dans … Lisez la suite
Déc 31
NOIR ET BLANC : (134)
Il fait nuit.
Seul dans mon lit.
Toute lumière éteinte.
Les rideaux fermés.
Les volets descendus.
La maison isoler
À la lisière de la forêt et des prés.
Aucune lueur n’a l’opportunité de pénétrer.
Dans … Lisez la suite
Août 13
SUR TES RIVAGES : (127)
Sur tes rivages, nous nous laissons happer par tes vagues.
Pendant que tes vagues nous couvrent par les pieds.
Tes vagues nous incitent à sauter par-dessus de tes vagues.
Continuent leurs chemins, tes vagues se … Lisez la suite
Mar 19
MAGNOLIA : (120)
Chaque matin, tu me fascines.
Hiver, comme été ou automne.
Telle une dame élégante tu changes d’apparence chaque jour.
Mais c’est à la portée du printemps que tu m’émerveilles.
Prenant tout ton temps, tu t’habilles de ton … Lisez la suite
Jan 03
VUE DU LION DE FLANDRE : (115)
Marie,
De loin, je te visualise sans te voir.
Du haut de ta tour, tu protèges.
Ta ville par l’autorité de ton serviteur.
Qu’il fasse jour, qu’il fasse nuit.
Ton cœur d’or.
Resplendis … Lisez la suite
Nov 26
L’ÉPOUVANTAIL DEVENU MANNEQUIN : (113)
Un épouvantail.
Oublié dans un champ.
Déserté de toutes récoltes.
Les oiseaux n’avaient plus peur de lui.
Même qu’une alouette avait fait de son épaule sa demeure.
Pauvre épouvantail.
Il se sentait bien inutile.
S’il … Lisez la suite
Juil 03
LE PAYS NOIR : (102)
Le pays noir est si noir.
Qu’on aime se réfugier près de toi, gueule noire.
Dans le blanc de tes yeux se lit encore la fierté de ton riche passé.
Pays noir, où le temps … Lisez la suite
Déc 05
UN RÉVEIL PAS COMME LES AUTRES :
Ce matin à mon réveil, rien n’était comme les autres matins.
C’était un matin, entre automne et hiver.
Il faisait si froid, que je n’avais aucune envie de me lever.
Les cendres dans … Lisez la suite