AVE CÉSAR : (221)
Ave César.
Tu n’as ni dieu ni maître.
Tu n’as que Cléopâtre pour maîtresse.
Ave César.
Ton armée t’obéit au doigt et à l’œil.
S’offre à toi tout entier, corps et âme.
Ave César.
Tes esclaves … Lisez la suite
DÉPRIME: (220)
La nuit, déprime et pleure.
Dans une obscurité diabolique.
Même sous l’éclairage électrique impossible.
D’apercevoir le ciel noir.
Encore moins le clair de lune.
Les rafales ne s’exaltent jamais assez fort à son goût.
Il siffle, jusqu’à casser … Lisez la suite
LE PAIN : (219)
Le pain.
Mets fin à mon jeûne.
Coupe ma faim.
Après ma nuit réparatrice.
Le pain.
Fruit d’un lourd labeur.
De celui qui travaille la terre.
Avec la complicité du soleil et de la pluie.
Le … Lisez la suite
DERNIÈRE ET NOUVELLE PAGE : (218)
Figé sur cette dernière page.
Complètement paralysé.
Tenant dans ma main ma plume hémiplégique.
Résigné, ne sachant que faire, de cet ultime parchemin imposé, j’arrête.
Dois-je m’y forcer ?
Tenté de tourner le folio … Lisez la suite
RÉVOLUTION : (217)
Révolution.
Retourner les armes.
Contre ceux qui donnent l’ordre de tirer.
Marre, d’être dictée, par un système totalitaire.
Révolution.
Placer un œillet rouge au bout du canon.
Soyez ardent contre les tyrans.
Sur ceux qui maintiennent le … Lisez la suite
TOI, OUI, TOI : (216)
Toi, oui, toi.
Qui aimes la femme mieux que quiconque.
Quel homme au-dessus de toi éprouve plus de sympathie pour elle ?
C’est le pourquoi, elle courtise ta compagnie.
Toi, oui, toi.
Tu l’habilles digne … Lisez la suite
A,S,D, MAJUSCULES, COMME : (215)
A Majuscule, comme, Aimer.
Recevoir l’amour comme on s’oxygène.
Dans le but d’expirer l’amour pour la faire fructifier.
Comment vivre sans amour ?
S Majuscule, comme, Sens.
Tout le sens de son existence.
Le pourquoi, … Lisez la suite
LE BANC DE PIERRE : (214)
Tant de fois, nous nous sommes assis sur le banc de pierre.
Une multitude d’occasions, nous nous sommes regardés.
Tu as pris ma main, et moi la tienne.
Yeux dans les yeux, nous nous … Lisez la suite
LE CLOWN : (213)
Le clown.
Drôle de personnage.
Ne trouvez-vous pas ?
Mais qui est-il vraiment ?
Le clown.
Le clown.
Sous son drôle accoutrement burlesque.
Il fait rire de manière pédagogique.
Portant l’attention des enfants
Le clown.
Le … Lisez la suite
LEVE-TOI : (212)
Lève-toi.
Cesse d’être centré sur ton nombril.
Arrête de scruter derrière toi.
Tourne la page.
Part d’un parchemin blanc.
Lève-toi.
Regarde devant toi.
La tête haute avance.
Le chemin est encore long.
Étroit et caillouteux, il est.… Lisez la suite
QUAND TRISTE JE SUIS : (211)
Quand triste je suis.
Je chante la vie.
D’un sifflement joyeux.
J’accompagne les oiseaux comme signature de leurs territoires.
Quand triste je suis.
J’admire la danse de la végétation.
J’embrasse mon arbre préféré.
Qui … Lisez la suite
PENDANT QUE JE DORMAIS : (210)
Pendant que je dormais, le long de mes rêves.
J’ai reçu tes mots.
Que tu d’écrits de tes doigts gelés !
Sur une poudre de neige blanche.
Au lever du jour.
Sous le décor … Lisez la suite
Nov 29
L’OMBRE ET LE SOLEIL, (2)
Seul sur le chemin des premiers jours d’automne.
Les feuilles encore vertes et le ciel bleu.
Pendant que les dernières roses résistent.
Les dahlias me font omettre que l’automne est bien là.
Cependant, les asters … Lisez la suite
Nov 24
C’est en allant sur la tombe d’Émile VERHAEREN que j’ai reçu l’inspiration de ce premier poème.
Moi-même, originaire de la ville de Termonde (Dendermonde) la ville la plus proche du petit village d’Émile VERHAEREN). Ce poème raconte mes balades, mais … Lisez la suite
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