MON NORD A MOI : (121)
Mon Nord à moi.
C’est là où l’eau argentée se fond dans l’horizon sans fin.
Où quelques cumulus blancs se mélangent aux vagues blanches.
Mer du Nord, tu sembles vouloir aller dans un Nord … Lisez la suite
Avr 08
MON NORD A MOI : (121)
Mon Nord à moi.
C’est là où l’eau argentée se fond dans l’horizon sans fin.
Où quelques cumulus blancs se mélangent aux vagues blanches.
Mer du Nord, tu sembles vouloir aller dans un Nord … Lisez la suite
Mar 19
MAGNOLIA : (120)
Chaque matin, tu me fascines.
Hiver, comme été ou automne.
Telle une dame élégante tu changes d’apparence chaque jour.
Mais c’est à la portée du printemps que tu m’émerveilles.
Prenant tout ton temps, tu t’habilles de ton … Lisez la suite
Mar 06
FRANCE ; TOI QUI ME RESSEMBLES : (119)
France ; toi qui me ressembles.
Certes, tu es belle.
Comme je suis beau.
Pourtant, je t’aime dans ta différence.
France ; toi qui me ressembles.
Tu es grande.
Moi, je suis … Lisez la suite
Fév 26
PETITE PRINCESSE : (118)
Le printemps toujours présent.
L’été à proximité.
Le temps celui d’un jour d’automne.
C’est sous ce paysage des quatre saisons.
Que deux jeunes gens se promenaient.
Sous l’horizon d’un champ de choux qui contrastait sous un … Lisez la suite
Jan 21
PÈRE : (117)
Père.
Image fracturée.
Quand au sein de mon fœtus .
Tes cris m’ont étouffé.
Père.
Image refroidie.
À peine, j’ai senti ta chaleur.
Et toi, tu as plié bagage.
Père.
Image brisée.
Quand maman m’a annoncé.
Jamais … Lisez la suite
Jan 08
L’INTERDIT : (116)
L’interdit.
Que c’est bon l’interdit!
Oser l’interdit.
Comme un défi qu’on se fait.
L’interdit.
Tout en respectant la loi de l’obéissance.
Lever le pari de prouver le contraire.
Se moquer des qu’en-dira-t-on.
Au risque de se faire … Lisez la suite
Jan 03
VUE DU LION DE FLANDRE : (115)
Marie,
De loin, je te visualise sans te voir.
Du haut de ta tour, tu protèges.
Ta ville par l’autorité de ton serviteur.
Qu’il fasse jour, qu’il fasse nuit.
Ton cœur d’or.
Resplendis … Lisez la suite
Déc 09
LA CRÈCHE : (114)
Là
Après un long voyage.
Plus de place pour être accueilli.
Jeté au dehors de la cité.
La porte se ferme sous l’obscurité.
Derrière le haut mur.
Juste à l’arrière sous le palais Royale.
Construit sur … Lisez la suite
Nov 26
L’ÉPOUVANTAIL DEVENU MANNEQUIN : (113)
Un épouvantail.
Oublié dans un champ.
Déserté de toutes récoltes.
Les oiseaux n’avaient plus peur de lui.
Même qu’une alouette avait fait de son épaule sa demeure.
Pauvre épouvantail.
Il se sentait bien inutile.
S’il … Lisez la suite
Nov 05
SEUL TON FEUILLAGE RÉSISTE : (112)
Seul ton feuillage résiste.
Là-bas au fond de mon jardin.
Là, près du banc.
Où j’aime, me tenir à l’ombre.
Quand il y a trop de soleil.
Seul ton feuillage résiste.
Fidèlement présent.
Tout … Lisez la suite